Dans la grande famille des aspirateurs nous vous présentons régulièrement des aspirateurs robots connectés ou des aspirateurs balais qui, s’ils ne le sont pas, n’en demeurent pas moins complémentaires des premiers pour les petits recoins que même avec la meilleure volonté un robot ne pourra atteindre. C’est ainsi que nous vous proposons aujourd’hui de tester un nouveau modèle dans la gamme des aspirateurs balais : le Proscenic P10 Pro. A 199€ hors promotion, que cache t-il sous le capot ?
Proscenic P10 Pro : l’aspirateur balai bleu élégance
Unboxing du Proscenic P10 Pro
Arrivé dans une valise en carton assez imposante de 74 cm x 26 cm x 16 cm pour 4.6 kg , très sobre avec simplement un schéma de l’aspirateur balai, le Proscenic P10 Pro ne paie pas de mine.
A l’ouverture, c’est à nouveau de nombreux cartons épais que nous trouvons. Tous sont bien calés entre eux, comme un jeu de construction et chaque élément est soigneusement emballé et protégé pour le transport. Même si l’on ne voit pas encore l’aspirateur, on apprécie les précautions prises.
Découvrons ce que chacun referme.
La brosse électrique à grand rouleau
Elle s’articule sur un angle de 90° verticalement et rayonne à 90° à gauche et à droite
A l’avant, son capot translucide permet de voir le grand rouleau. Si jamais des fils, cheveux, poils viennent à s’y agglutiner, il est facile de s’en rendre compte et de procéder à un nettoyage. A sa base 4 LED s’allument en blanc dès que le moteur est en route et projettent un faisceau sur plusieurs mètres et un éclairage confortable sur une vingtaine de centimètre permettant ainsi de guider le balai dans les coins sombres ou même dans une pièce plongée dans le noir. Sous les LED une bande velours frontale sert « d’amortisseur » en cas de contact avec un obstacle.
Au dessous de la brosse, on retrouve sur trois cotés une bande de velours. A l’avant deux petites roulettes viennent en complément des deux grandes roues de guidage positionnées à l’arrière de la brosse. Elles laissent juste l’espace nécessaire pour que les particules un peu épaisses puissent être « absorbée » mais aussi pour le changer de niveau de l’appareil, type passage sol dur vers tapis. Comptez 5 mm de surélévation.
Les deux grandes roues placées à l’avant de chaque coté du montant clipsable de la brosse à rouleau permettent de faire glisser la brosse sans aucun effort. Le système d'emboitement des pièces placé sur le support entre chacune permet l’articulation de la brosse et une couverture à 180°. Mais, plus l’angle sera important, plus l’action des roues sera difficile. Logique. Elles ne sont plus dans l’axe central.
Sur le troisième coté le système de verrouillage / déverrouillage pour permettre l’extraction du rouleau de son logement.
Le rouleau est fait de trois matières :
- un tube en plastique sur lequel est torsadé trois bandes :
- 1 bleue constituée de poils rigides qui va racler le sol
- 2 violette en velours pour entrainer les saletés vers l’aspiration.
La mini-brosse motorisée anti acariens :
Comme son nom l’indique, elle est destinée aux divers tissus d’ameublement et matelas sur lesquels les acariens aiment se répandre. La coque transparente amovible vient faire ventouse lorsqu’on la place sur le textile, ainsi aucune poussière ne se propage. Il faut bien prendre le coup de main pour aspirer en étant le plus possible à la verticale et conserver l’effet ventouse.
La brosse est constituée de deux lignes de fibres semi-rigides rouges placées en V. Sur l’avant une bande velours rouge permet un contact de tissu à tissus moins rêche que si c’était directement le plastique. Sur le coté du capot, une grosse vis plastique assure son maintien en place.
Le suceur plat et la brosse ovale articulée :
Le suceur plat est suffisamment long et étroit pour passer entre les montants d’un radiateur en fonte où la poussière. Il sera tout aussi efficace sur le rebord supérieur des plinthes qu’un aspirateur robot ne pourra atteindre. Placé sur le long tube, il se fixe que dans une position, classiquement la partie la plus longue sur le dessus mais trois orientations sont possibles : face (comme sur le tube), gauche ou droit offrant ainsi plus d’aisance pour aller déloger les poussières sans difficultés.
La brosse ovale est composée de fibres rigides. Placée sur le long tube elle simplifiera le nettoyage en hauteur sans alourdir le poids à bout de bras. Son articulation à 90° sur sont support aidera aussi passer partout. Elle aussi peut se placer selon trois orientations lui conférent une rotation quasi intégrale.
L'embout de fixation du corps central a 3 crans ce qui permet de choisir l’un d’entre eux pour y enclencher le tube long ou la brosse ovale.
Le tube : dans un joli coloris bleu pétrole métallisé, il mesure en tout 65 cm dont 61.5 cm utile (les 3.5 cm restant c’est l'emboitement dans le corps principal).
L’alimentation électrique, c’est un bloc qui délivre 34.2V en sortie pourvu d’une prise type C (sans terre) et fiche DC à brancher sur la batterie en place ou retirée ou sur le support mural de rechargement. Son câble fait 1.5 mètre.
Le support mural est livré avec 3 chevilles, 3 vis, un guide de perçage et un adhésif double face. Au dessous, une fiche DC permet d’assurer le rechargement lorsque les broches de la batterie touchent les contacteurs.
La batterie du P10 Pro
La batterie du Proscenic P10 Pro contient 8 piles au Lithium ion. Elle a été améliorée par rapport au modèle précédent (P10) lui conférant une plus grande autonomie, passant de 40 minutes sur la version précédente à à 55 minutes en usage Eco. En effet, comme tous les autres aspirateurs balais sans fil, l’autonomie n’est pas spécialement son point fort, surtout utilisé en mode max où le temps d’utilisation tombe à 12 min avant qu’il ne s’arrête net. Celle-ci peut paraître encore insuffisante, mais demeure très correcte par rapport à ses concurrents, surtout s’il s’agit généralement d’un aspirateur d’appoint. La batterie est amovible ce qui est pratique pour un rechargement hors de l’appareil pendant que l’on en insère une seconde (à acquérir) pour poursuivre le nettoyage.
Si l’autonomie restera toujours le hic des aspirateurs sans fil, il n’en demeure pas moins que la puissance que développe cette batterie est forte avec 23000 Pa pour 260 W. A l’opposé de la fiche DC, ses broches assurent le rechargement lorsqu’elles sont en contact avec celles du support mural. A noter, la petite touche de rappel couleur bleu pétrole sur les clips de fixation.
Un autre petit outil est joint aux accessoires, il s’agit d’un coupe fil pour déloger les cheveux et autres poils de vos animaux qui seraient restés sur l’un des rouleaux. Mais, franchement, nous n’avons pas eu à l’utiliser, car contrairement à ce que nous avions récupéré lors de notre test du Proscenic 850T où le rouleau avait conservé les cheveux, rien à déloger avec le Proscenic P10 Pro du fait d’une excellente conception. Bluffant !
Le corps central
Sa coque est bicolore et en plastique brillant. Ici la couleur bleue pétrole ressort sur les flancs et contraste avec le noir qui l’accompagne. La qualité des matériaux est bonne. Aucun défaut de finition constaté.
Le moteur est adjacent au bac à poussière de 650 ml. Il est dit Turbo 3.0 et tourne à une vitesse de 110 000 tr/min, rien que ça ! A l’arrière une grille permet l’aération du moteur.
La poignée est lisse et agréable à tenir en main. Il n’y a pas de « moulage de doigts » pour la tenir, ce qui est très pratique car petits ou gros doigts trouverons aisément leur place.
La détente de mise en fonction est ergonomique et toujours dans le ton. Appuyez dessus et attendez 1 à 2 secondes que le moteur se lance. Si vous réappuyez dessus pensant que ca ne l’a pas mis en route, vous l’éteindrez.
Chaque élément qui s’y raccorde viennent se clipser dessus.
La batterie rechargeable, elle est insérée par le dessous ses 2 gros boutons venant s’enficher dans le corps central.
Le bac à poussière qui contient les différents filtres réduisant sa capacité de stockage. il se clipse par le dessus en insérant les différentes parties dans leur logement et en alignant le point rouge sur la partie supérieure.
Les différentes brosses ou le tube rallonge s’enfiche à l’avant et pour les en extraire un simple appui sur le bouton bleu….
Le bac à poussière
Il se clipse sur le corps central et dans le prolongement de l’appareil. C’est plutôt judicieux car cela prend moins de place pour le rangement. Le bac étant translucide, surveiller son remplissage n’est pas difficile. Pour sa vidange, une boucle en dessous du bac permet de vider ce qui est en partie basse sous le filtre métallique. Pour évacuer ce qui est dans la partie haute, il faut déclipser le bac du corps de l’appareil, pousser par le fond, qu’on aura ouvert aussi, le système cyclonique pour le faire remonter et sortir le filtre HEPA puis vider le container dans la poubelle ménagère. Ce n’est pas le plus simple, il faut juste y aller doucement pour pas faire tout retomber par terre.
Le système de filtration cyclonique
Il est intégré dans le bac à poussière le réduisant d’autant sa contenance. C’est dommage mais il reste quand même de quoi le remplir en plus d’un passage. Le système de filtration du Proscenic P10 Pro est fait de quatre étages :
- HEPA : blanc dans un support bleu pétrole, il est pourvu d’une ficelle pour aider à le retirer. Mais lorsqu’il est bien inséré la ficelle craquera avant qu’il ne soit sorti du bac…
- Éponge, noire, elle est maintenue par 5 ergots au dos du filtre HEPA. Elle doit être bien passée sous les 5 supports pour assurer une filtration optimale.
- Grille métallique, nombre de poussières s’y agglutinent réduisant un peu le risque de dispersion lorsque l’on vide le bac. Elle est insérée sur un support conique noir. Il faut bien placer la grille dans la fente circulaire puis remettre l’autre extrémité qui sert de bouchon et le visser dans le cran pour que la grille soit bien maintenue en place et que l’ensemble puisse être remis dans le bac à poussière avant fermeture.
- Cyclone à traitement ionosphère : il va aspirer tel un cyclone la poussière et la stocker dans le bac en évitant tout rejet dans l’air.
L’ensemble de ces quatre filtres capturent en emprisonnent 99.99% des particules de plus de 0.3 microns telles que les poussières, allergènes et squames.
Filtre HEPA et éponge
Le filtre métallique avec son système de fixation
A noter que sur le cône central un clapet anti-retour est prévu.
Tous les éléments des filtres sont lavables à l’eau : bac, filtre HEPA, mousse, grille métallique, et cône de support. Mais bien évidemment il faut bien faire sécher le tout avant de remonter et de remettre en service l’appareil.
Fiche technique
- Marque : Proscenic
- Modèle : P10 Pro
- Batterie : 8 batteries Lithium ion 2000 mAh
- Puissance du moteur : 260W
- Puissance de succion : 23.000Pa
- Nombre de tours/mn : 11.000
- Dimensions maximales : 118.38 cm x 25.4 cm x 21.84 cm
- Nombre de puissance : 3
- Eco : 7600 Pa
- Max : 2300Pa
- Auto
- Poids corps central sans accessoire : 1.650 kg
- Autonomie : 55 min en mode Eco
- Temps de charge : 2.5h
- Rechargement : Via support mural ou sur la batterie amovible (même en place)
- Bac à poussière : 650 ml
- Accessoires : Brosse électrique à rouleau, mini brosse électronique anti acarien x1, brosse ovale articulée x1, suceur plat x1, filtre HEPA x1
- Autres : Alimentation x1, coupe fil x1, notice utilisation x1
Proscenic P10 Pro : utilisation au quotidien de l’aspirateur
Après avoir bien détaillé les éléments du Proscenic P10 Pro, voyons ce qu’il en retourne de son utilisation.
Comme dit précédemment il faut attendre 1 à 2 secondes lorsqu’on appuie sur la gâchette. Le délai semble être de plus en plus court et devient beaucoup plus réactif, et quasi instantané au fil des chargements que nous faisons pour ce test. Autrement dit, la batterie semble nécessiter un petit rodage avant d’être pleinement efficiente. Une fois cela fait, sur la poignée un large écran de contrôle s’illumine et va permettre de gérer les différentes puissances. Il n’est pas nécessaire de rester le doigt crisper sur le bouton une fois celui-ci actionné et ça c’est très bien !
L’écran de contrôle du Proscenic P10 Pro est tactile et même à détection de mouvement ! Bien que non connecté, un simple passage de l’ombre du doigt et le changement de puissance s’effectue. Ça peut être un bien ou pas…
Lorsqu’il se met en route, le mode par défaut est « Auto » mais il y a deux autres niveaux de puissances : Eco et Max
Mode Auto : C’est le mode basique, le plus simple où l’aspirateur se gère tout seul : rien à faire ! Il ajuste sa puissance selon la nature du sol (plus importante sur un gros tapis) pour permettre une utilisation de 20 à 30 min et délivrer entre 11.500 et 18.500 Pa . Le niveau sonore que nous avons mesuré à 1 mètre de distance de la sortie d’air est de 60 dB soit l’équivalent du niveau d’une conversation. Mais c’est un moteur qui ronfle quand même.
Mode Max : il libèrent toute la puissance qu’il a dans le ventre, 23.000Pa, pour notamment aspirer les plus grosses des poussières. Mais attention, l’autonomie va drastiquement chuter à une douzaine de minutes. A utiliser donc avec parcimonie, juste là où c’est nécessaire, pas forcément pour tout le ménage. Ou alors, prévoyez peut-être d’investir dans une seconde batterie si vous avez une très grande surface a nettoyer. Mais comme nous l’avons indiqué précédemment, il est plus à utiliser en nettoyeur d’appoint ou pour les très petites surfaces où un robot aspirateur n’aurait pas raison d’être, comme un studio par exemple. Le niveau sonore que nous avons mesuré à 1 mètre de distance de la sortie d’air est de 62 dB soit l’équivalent du niveau d’une conversation. Mais c’est un moteur qui ronfle quand même.
Mode Eco : comme son nom l’indique il travail à l’économie pour permettre plus d’autonomie : 55 min prévues par le fabricant mais nous avons relevé seulement 40 min de fonctionnement et il s’est arrêté. La puissance exploitée est entre 7.500 et 10.000Pa . C’est un mode qui peut être utilisé sur les sols durs comme carrelages, parquets ou il n’y aura pas trop à « taper » dans l’aspiration pour aller décoller la saleté. Donc, au final, il pourra être utilisé dans la majorité du temps, hormis si votre intérieur est entièrement recouvert de gros tapis …mais là on vous plains pour l’été, il doit faire chaud sous les pieds. Le niveau sonore que nous avons mesuré à 1 mètre de distance de la sortie d’air est de 57 dB, soit l’équivalent du niveau d’un bureau calme. Mais c’est un moteur qui ronfle tout de même.
Au final pas beaucoup de différences relevées au niveau sonore par rapport à ce qu’annonce la marque.
Une pile représentant la charge restante s’affiche sur l’écran du Proscenic P10 Pro permettant de suivre l’évolution. Au dessous le niveau de puissance sélectionné
Lorsque le niveau de la pile baisse, il passe à l’orange puis au rouge, comme les feux tricolores. Vous trouverez également sous la pile une zone pour les différents messages d’erreurs, au nombres de 3 :
- 1 : blocage de la brosse : éteignez rallumer, ça devrait la relancer.
- 1 2 3 : court-circuit de la brosse : un SAV est à prévoir
- 2 : ventilateur défectueux : vérifiez que rien n’obstrue le ventilateur et le ferait surchauffer. Eteignez quelques minutes pour qu’il refroidisse et rallumez.
A l’utilisation, l’aspirateur balai Proscenic P10 Pro est agréable à tenir en main. La poignée est grande et la maintenir ne demande pas une sollicitation importante du poignet. Le fait que l’ensemble du corps principal soit placé en partie supérieure est une très bonne chose comparé aux « vieux » aspirateurs balais car la partie plongeante est plus importante (pour passer sous un lit par exemple) et il y a moins de surface et de risque de contact direct avec un obstacle et donc de le rayer. Oui, c’est qu’un aspirateur balai, mais tant qu’à faire autant le garder le plus propre possible.
Il tient tout seul debout comme un grand sur la grande brosse et ça, c’est top ! Le système de fixation mural qui fait également office de rechargement est très bien, mais devient accessoire car non obligatoire pour le maintenir. Placez le près d’une prise et rechargez-le batterie en place. Vous avez une place pour le ranger mais pas de prise ? Retirez-la et allez l’alimenter plus loin, pas de soucis.
Coté aspiration, le Proscenic P10 Pro est performant. Nous l’avons poussé un peu dans ses retranchements en utilisant beaucoup le mode Max. Donc oui, l’autonomie en a souffert, c’est vrai, mais à voir ce qu’il a récupérer, il est indéniablement puissant.
La grande brosse est parfaite. Nous lui avons fait faire le tour de la maison pour remplir le bac. Il s’est rempli mais pas complètement. Preuve que sa contenance est assez bonne pour plusieurs passages (à moins d’avoir vraiment une poussière phénoménale ce que nous ne vous souhaitons pas). Mais, ce qui nous a le plus bluffé, c’est que le rouleau n’a pas « retenu » de cheveux. La conception anti-enchevêtrement des fibres dures sur le rouleau fait bien le travail. Tout est remonté dans le bac et a été broyé car, en le vidant, nous n’avons pas retrouvé de « paquet ».
Nous avons testés en plus de la brosse principale :
- le suceur plat en le passant entre les fentes d’un radiateur. C’est le premier que nous avons qui soit assez fin pour passer dans les interstices et aspirer les poussières qui s’y agglutinent.
- la mini brosse électrique nous a agréablement surprise sur son passage sur un matelas. Effet rase pull. Plus de bouloche. Mais son maniement avec le capot n’est pas des plus aisé. Il faut prendre le coup de main, bien être à la verticale de ce qu’on aspire (en ramenant l’aspirateur vers soi) sinon le capot à tendance à se relever et l’effet ventouse n’y est plus. L’aspiration est faites, mais du coup il y a une petite déperdition.
- la brosse ovale, légère elle ne vient pas alourdir l’appareil pour une utilisation en hauteur. Il faudra toutefois la manipuler manuellement pour l’orienter dans les différents axes qu’il est possible de la mettre.
Si le bac à poussière du Proscenic P10 Pro a une contenance correcte, il pêche un peu dans sa conception pour le vider. Quand les poussières remontent, elles se stockent dans la partie haute, puis tombent dans la partie inférieure par accumulation ou du fait de leur poids. Cette dernière est simple à vider en ouvrant le loquet en dessous. Le problème est que, même en secouant fort ou à plusieurs reprise, ce qui est en haut reste en haut. Il faut donc désinstaller le bac du support et procéder au démontage comme indiqué plus haut. Ce n’est pas le plus simple, d’autant plus que les éléments en plastiques ont tendance à coller entre eux. C’est un coup de main à prendre, mais aussi un point qui mériterait d’être amélioré.
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